30 avril 2012

L'ART D'ÊTRE "TOUTE" LÀ!


Elle a dû exécuter ce que son enfant lui suppliait de faire...



Question de vie ou de mort!
 
CONTEXTE:   

Hier matin, ma belle-fille, Jade, a décidé de me lire un message qu'elle avait reçu antérieurement de la part de sa grand-maman, Mamie Dan.  D'un élan, sans se poser de questions, elle me lance: "Pascal, écoute ça!"  

J'avoue que ça faisait longtemps que je n'avais pas été autant étonné par rapport à la conclusion d'un texte...  Saisissant mais pas moins surprenant, ce court récit m'a forcé à sourire.  Jade a donc commencé à me lire son histoire... 



HISTOIRE:   

L'adolescent revient de l'école et s'empresse de discuter avec sa mère ni plus ni moins du sujet délicat qu'est l’euthanasie.  Le choix entre la vie et la mort!  Wow...  Étonnée, la maman est tellement heureuse que son "ado" soit éveillé à ces choses-là qu'elle le laisse parler.  Son enfant déclare qu'ils en ont parlé à l'école ses amis et lui...  Il la supplie donc d'un ton très ferme: "Maman, ne me laisse jamais vivre dans un état végétatif, dépendant d'une machine et alimenté par un liquide!  Si vous me voyez dans cet état, débranchez les appareils qui me relient à une vie artificielle!"
CONCLUSION: 

La mère se lève.  D'un pas décidé, elle se dirige immédiatement vers son enfant.  Elle débranche son iPod, éteint son ordinateur, sa PlayStation 3 et lui retire sa canette de Red Bull de la main...  


Voilà Ce qui devait être fait a été fait!




Cette histoire est rafraîchissante parce qu'elle résume assez bien l'inquiétude des adultes et des parents face à ce mal "technologique" qui hypnotise de plus en plus l'attention de notre belle jeunesse...    

Il est vrai que les "ados" ont les bras trop longs...  Mais, ils ont aussi le dos large!  Moi le premier, je peux admettre que je leur découvre bien des défauts quand vient le temps de faire leur procès...  Mais, soyons honnête, est-ce vraiment seulement eux qui sont obnubilés par ces petits appareils créés supposément pour faciliter la communication et l'accès à l'information?

Oh que non!!

Qui n'a pas dans son cercle d'amis une connaissance qui est constamment branchée et qui semble sérieusement avoir de la difficulté à se passer de son téléphone intelligent même en votre présence?  Moi, j'en connais...  




Une amie de ma mère m'écrivait justement dans les commentaires de mon texte sur "L'Art de ne pas suivre le Troupeau" qu'elle était justement décontenancée de constater à quel point beaucoup de gens sont rendus dépendants de ces "gugusses à batterie"...  Dans un bus, elle s'est assise à côté d'une connaissance qui a préféré continuer de "texter" sur son cellulaire après l'avoir saluée que d'entreprendre une conversation avec elle, comme elle l'aurait fait habituellement à une époque pas encore si lointaine.  Je dirais, en toute honnêteté, que ce n'est pas l'envie qui manque parfois de sortir mon "smartphone":  dans un moment d'ennui, par exemple, ou quand j'ai moins le goût de socialiser.  C'est comme un réflexe, comme une échappatoire, non?  "Soit pour regarder mes emails, soit pour vérifier un truc sur Google, soit que j'ai une idée et que je veux la prendre en note ou soit pour prendre une photo et j'en passe!  Mais souvent je me retiens.  Je garde tout de même mon appareil fermé car il reste encore quelque chose en moi qui crie fort de vouloir rester libre.  D'ailleurs, le rapprochement à faire entre les gadgets électroniques et les autres dépendances est indéniable...




Les bonnes raisons sont toujours 'bonnes" quand elles comblent un besoin...  Mais les bonnes inventions sont rarement "bonnes" quand elles répondent à de faux besoins...  

Rappelons-nous que l'ancêtre du téléphone intelligent est le cellulaire et que celui-ci répondait à un besoin non négligeable qu'est celui d'être en mesure de pouvoir rejoindre les services d'urgence ou un proche en cas de nécessité et ce, à partir de n'importe où... (ou presque).  

Comme n'importe quelles dépendances, c'est une manie qui est développée pour combler un vide, répondre à un besoin que l'on se crée.  Éviter une émotion, une situation ou une responsabilité  à laquelle on doit faire face.  Autrement dit, c'est un excellent moyen inconscient de ne pas "ÊTRE TOUTE LÀ"...  L'analogie avec les dépendances tient le coup jusqu'ici"... 

Tout ce que je désire au fond, c'est de me souvenir qu'il est tellement préférable pour moi de rester branché "à la Source" et "d'être toute là" même si cela peut apporter parfois son lot d'inconforts que d'être continuellement "branché" en voulant éviter l'inconfort de faire face à ce qui se passe dans mon moment présent... 

Il faut admettre bien humblement que tous ces outils technologiques ingénieux sont bien utiles dans diverses circonstances où justice a pu être rendue grâce à leurs fonctions portables et qu'ils peuvent encore répondre aujourd'hui à de "vrais" besoins.  L'idée derrière tout ça, encore une fois, c'est de garder un certain équilibre dans tout ça.  L'analogie avec les dépendances tient encore et toujours le coup non?"...  Ha! Ha! Ha

Je terminerai mon texte en nous suppliant de toujours nous rappeler que nos enfants, notre jeunesse et que les générations qui nous succèderont nous regardent en ce moment et nous imitent alors soyons prudents dans nos habitudes et comportements... 


 
Je trouve rassurant que ce soit la génération qui me suivra 
qui ait réagi à cette vérité et qui ait eu envie de me partager son email...    

Merci Jade!

             Ne te gêne pas pour partager mon blogue, t'y abonner ou émettre un commentaire!


                                                                                                                                                               PasS



19 avril 2012

L'ART DE NE PAS SUIVRE " LE TROUPEAU "

* MOUTON NOIR : " Excusez-moi, j'aimerais passer s.v.p...  Merci! "
Cette œuvre d'art qui est affichée chez toi
 est un magnifique clin d’œil pour mon texte!
Merci Dominique !
* Vous serez d'accord avec moi, je l'espère, pour affirmer qu'il n'est vraiment pas nécessaire d'être un "mouton noir" pour ne pas suivre le troupeau... Au contraire!  Nous sommes tous de la même famille, les êtres humains.  Ce sont surtout nos choix personnels, entre autres, qui nous différencient les uns des autres et qui font de nous des êtres uniques!



 



" VIVRE SON MOMENT PRÉSENT..."
  (Ah non... pas encore cette phrase-là!)

J'ai vu, j'ai lu et j'ai entendu des centaines de fois cette phrase dans ma vie: "Vis ton moment présent!" "Prends-tu le temps de vivre ton moment présent, Pascal?" "Il est démontré que vivre son moment présent est..." "C'est parce que tu vis pas ton moment présent que..." Etc, etc et etc. Pour moi, ça en était devenu irritant et même presque agressant...  Comme la fameuse publicité radio et télé des sous-marins Subway: " 12 pouces, 5 dollars ", dont la redondance me donnait juste envie de crier: " Tiens! V'là 10 "piass"!  Va t'en acheter deux pis fiche-moi la paix avec ta maudite chanson!"....
J'en ris à peine!

"Vis ton moment présent!" est devenu insidieusement une phrase qui ne signifiait plus "grand-chose" pour moi.  À en causer parfois des vertiges juste à tenter de comprendre le fondement de cette phrase trop galvaudée à mon goût...  Mais qu'est-ce que ça pouvait bien vouloir dire véritablement?  "Je vis en ce moment, je ne peux pas être plus LÀ que LÀ!  Comment j'pourrais vivre mon moment "futur" anyway?"

Mais je comprends aujourd'hui qu'à la base, ce qui m'agressait réellement, ce n'était pas la phrase elle-même mais plutôt devant ce à quoi elle me confrontait...   

Dans tous ces choix de vie, tous ces biens, toute cette consommation et surtout dans ce "rythme de vie" effréné que je vivais et qui semblait ne pas ralentir mais plutôt vouloir s'accélérer davantage, comment pouvais-je parvenir à vivre un seul vrai moment présent?  La réponse était dans la question et je vais tenter d'éclaircir MA définition du "troupeau" dans ce texte afin de toujours pouvoir y revenir et d'y rester branchée!


FLASHBACK! 
( Retour en arrière pour mieux me situer par rapport au sujet d'aujourd'hui. )



L'an dernier en mars 2011, il a fallu que je change drastiquement et obligatoirement 
mon mode de vie.  J'ai donc décidé de revendre à mon père les 50% d'actions que je détenais dans l'entreprise dont j'avais été associé depuis plus de 17 ans.  
J'ai vendu la maison et la deuxième voiture afin de pouvoir payer d'immenses dettes accumulées, résultat de 3 ans de travail dans la réalisation de mon rêve de Vie: 
écrire, réaliser, produire et chanter dans un spectacle au Palace de Granby. 

Tout l'honneur revient à ma blonde Josée car c'est elle qui a accepté en 2008 
de me suivre contre vents et marées dans mes aspirations les plus folles...  
Si vous savez calculer, ça fait donc 3 belles années de folies 
où toutes les émotions y sont passés et presque mon couple d'ailleurs... 








Le spectacle fut un succès scénique mais malheureusement pas du côté financier.  J'avais tout fait ce qui était possible et imaginable afin de remplir à pleine capacité la salle de chacune des 7 représentations de 2010 et de 2011 inclusivement...  Après la 5ième et puis la 6ième, j'ai dû me rendre à l'évidence et annuler la 7ième...  2900 personnes s'étaient présentés au rendez-vous sur une possibilité de 6300...  Je me retrouvais donc après trois années de travail passionné devant une dette énorme pour un rêve réalisé mais ne laissant imprimé sur ma conscience qu'un seul mot: R E S P I R E...   HA! HA! HA !  Quelle ironie...  Aujourd'hui ça me fait sourire.  
Donc, je continue. 

Mes principes et mes valeurs personnelles m'obligeaient à prendre la décision de vendre tous mes actifs afin de pouvoir payer chaque fournisseur, toute la publicité, tous les techniciens, les artisans, les sous-traitants, les pigistes, les droits d'auteurs et, finalement, les artistes.  Ces gens m'avaient fait confiance, avaient cru en mon projet et avaient fait du travail extraordinaire pour R E S P I R E et ce, peu importe le mandat qu'ils devaient accomplir pour le spectacle.   

Oui, j'ai voulu remettre à César ce qui appartenait à César, car j'aurais été incapable de faire autrement.  C'était ancré en moi.  J'ai hérité de ce principe et de cette valeur grâce à mes parents qui m'ont enseigné par faits et gestes de n'avoir qu'une seule parole.  Après toutes ces années à être en affaires et à m'amuser aussi dans le domaine artistique, j'avais trop vu de gens délaisser leurs responsabilités et s'enfuir avec ce qui RE$TAIT...

Je peux vous confirmer que je ne regrette pas ce choix que j'ai fait, d'autant plus que je suis fier aujourd'hui de pouvoir regarder en arrière et me dire que j'ai réalisé "mon rêve de vie"!  Que ce même rêve aura avalé en même temps toute ma "vie d'avant"...  

Comme dirait ma mère: "heureuse épreuve qui m'a valu de pouvoir grandir..."  Oui, tout à fait, elle ne pouvait pas mieux dire.  Honnêtement, il a fallu que la Vie m'oblige en quelque sorte à effectuer des changements majeurs dans ma vie à cause de l'insuccès financier de mon show; sinon, qui sait, peut-être que je serais là encore aujourd'hui en train de brûler la chandelle par les deux bouts avec le reste du troupeau?

Quelques mois plus tard, en juillet 2011, nous mettions au remisage ce qui restait de nos biens les plus essentiels et nous partions toute la famille, en voiture, pour aller vivre un an dans l'ouest canadien.  Nous avions comme seul bagage du matériel de camping, un minimum de vêtements et notre bonne humeur chargée d'espoir et de bonnes intentions!  


Pourquoi?... 
Pourquoi pas!

 
Au moment de taper ces mots, ça fait maintenant dix mois que j'ai quitté mon coin de pays natal et je suis à deux mois d'y revenir.  Durant cette longue mais "courte" période, tout ce que j'ai fait en réalité est de voyager, découvrir, dormir, mieux me nourrir, arrêter de fumer, écrire, lire, marcher, faire de la natation, entretenir l'appartement, voir à faire des achats à l'épicerie, faire la cuisine, le lavage, la vaisselle, aller à pieds reconduire et chercher les filles à l'école.   

Apprendre l'anglais, faire des montages vidéos, travailler sur un ou deux projets artistiques via internet, écrire sur mon blogue, écrire des chroniques journalistiques pour des entreprises diverses, m'impliquer dans des comités, faire du bénévolat, peindre, bricoler, photographier et... bien sûr...  méditer.  

* C'est parce que ma conjointe Josée a continué d'enseigner ici en immersion francophone que j'ai pu profiter de ce temps unique ici sans travailler "officiellement", ce qui m'a permis de vivre tout ça!  De tourner la page sur une vie ancienne.  De retrouver mon essence, mon Pascal intérieur-enfant.  De me sortir d'une dépression et qui sait de quoi encore...  Je ne la remercierai jamais assez pour tout ce qu'elle a fait pour moi depuis ces 11 années ensemble.  Je lui dois beaucoup et, en même temps, comme le chante si bien notre ami Jean-Pierre Ferland: Une Chance Qu'on S'a. 


DANS NOTRE VIE, LE TEMPS EST PARFOIS PLUVIEUX...  
ALORS TOUS LES MOYENS SONT BONS
POUR L'ACCEPTER, POUR CONTINUER
ET POUR ARRÊTER LE TEMPS 
AVANT QUE L'ON SOIT PLUS VIEUX...


Croyez-moi, pour ma part, même si j'ai été l'auteur et le réalisateur d'un spectacle qui avait comme message principal de saisir le moment présent et de vivre chaque instant comme si c'était le dernier, il aura quand même fallu CETTE épreuve financière provoquée par ce même spectacle pour m'apercevoir à quel point je faisais fausse route dans plusieurs de mes choix et de mes priorités de vie.  Bien sûr que j'étais conscient au moment de l'écriture que ce show s'adressait à moi mais il n'en demeure pas moins qu'il m'a quand même pris par surprise en me révélant mes 4 vérités à travers " l'après-spectacle "...   Il m'a surtout réveillé en me révélant ceci:

Je travaillais pour parvenir de peines et de misères à maintenir le rythme de soutenir le paiement de tous ces biens, toutes ces habitudes, tous ces besoins que je m'étais créés au fil du temps.  J'en étais même venu dans les dernières années à persévérer dans un travail qui n'entretenait plus vraiment la flamme en moi.  J'avais renoncé inconsciemment à mon bonheur véritable et à mes passions au "profit" de pouvoir continuer à me prouver que j'étais capable de suivre le troupeau.  Je voulais me prouver que j'étais un "vrai" homme et un bon père de famille sans reproche qui offrait le "meilleur" pour sa famille...  

La vérité, c'est surtout que je ne me choisissais pas EN PREMIER!  Je ne voulais surtout pas laisser tomber mon père dans notre entreprise après toutes ces années et je ne voulais pas non plus le décevoir dans ses aspirations à ce que je devienne bien naturellement "la relève".  Je me sentais coupable à l'idée que ma décision de quitter la Clinique Capillaire puisse affecter son moral et sa santé, lui, qui avait reçu une opération à cœur ouvert 5 ans auparavant et qui était à l'aube de prendre une retraite bien méritée.  En UNE décision de ma part, je changeais totalement tous ses plans sans oublier que cette décision l'obligeait à racheter mes parts...  Je me sentais terriblement coupable également de laisser tomber mes collègues de travail et tous mes clients devenus au fil des années pour plusieurs, des amis.  Mais ça criait trop fort en moi: 

"JE VEUX ÊTRE LIBRE ET FAIRE CE QUI ME PASSIONNE!  
QUITTE À PERDRE L'AMOUR DES AUTRES...  
QUITTE À RENONCER À TOUT CE QUE JE POSSÈDE!" 

Je me devais d'écouter mon cœur et de ME choisir.  Mes parents et ma conjointe m'ont d’ailleurs beaucoup aidé dans cette démarche.  Sans eux, bien honnêtement, je ne sais pas si j'aurais vécu ce voyage dans le même état d'esprit ou encore pire; je ne sais même pas si j'aurais fait le choix de ME choisir?... 

Sortir du troupeau...  
Prendre cette décision n'a pas été facile.
On a un besoin "identitaire" tellement fort, nous, les humains...  

C'est par contre, selon moi, une "fausse" sécurité 
que l'on s'est créée depuis trop de générations déjà...


Par ce précieux cadeau que nous nous sommes offert, Josée et moi, en entreprenant ce voyage dans l'ouest, j'ai pu laisser retomber la poussière, j'ai pu reprendre le contrôle de ma vie, j'ai pu "rechoisir" la direction que je voulais qu'elle prenne et j'ai pu mettre de l'ordre dans l'organigramme de mes priorités.  Je me suis pardonné mes erreurs tout en les remerciant pour les leçons qu'elles m'ont enseignées.  J'ai pu retrouver un certain équilibre sur lequel je pourrai m'appuyer pour toutes les années qu'il me reste à vivre.

Quelques défis semblent se présenter à moi lors de mon retour à Granby: Celui d'entretenir toutes ces découvertes que j'ai faites sur moi durant cette expérience.  Celui aussi de ne pas tomber dans le piège de recommencer mes anciennes habitudes de vie, de rechoisir encore les nouvelles, même lorsque ce sera plus difficile.  Le défi, surtout, reste de ne plus suivre ce que j'aime appeler: "le troupeau".  


JE SAIS QUE DANS TOUS LES CHOIX
QUE JE FAIS PAR AMOUR POUR MOI,
MÊME DANS LES PLUS PETITS,
ILS FINIRONT PAR RAYONNER PLUS GRAND
AUTOUR DE MOI AU PLAISIR
DE CEUX QUI ME CÔTOIENT...




Ne te gêne pas pour partager mon blogue, t'y abonner ou émettre un commentaire!

                                                                                                                             PasS

 

6 avril 2012

RENOUVEAU / RÉVOLUTION


       PÂQUES        

RÉSURRECTION

Des mots qui font sourciller en 2012.
 
Comment dire... sans tomber dans le religieux...?

 Retour à la Vie après la mort.

Comment s'exprimer en évitant la dramatisation...?

On peux-tu faire ça simple?
  
On peux-tu admettre une chose?
Qui d'entre-nous peut se lever et dire:
"Moi j'aime ça d'même, ON CHANGE RIEN!!"? 


  RÉVOLUTION

Un changement, un bouleversement important 
dans la vie de notre village planétaire. 








ÇA M'A BEAUCOUP INSPIRÉ!


DICTÉE QUE MA BLONDE DONNAIT HIER À SES ÉLÈVES EN IMMERSION FRANCOPHONE.
"Nous célébrerons Pâques dans quelques jours...  Qu'est-ce que cette fête aimée de tous peut bien signifier?  Pour moi, elle représente la Vie nouvelle: Des chenilles endormies dans leur cocon qui se transforment en magnifiques papillons!  Des fleurs heureuses d'étaler leurs pétales colorés au printemps après la saison hivernale.  Des sourires gratuits d'une autre personne quand je vis des moments tristes.  Des rayons de soleil qui se montrent le bout du nez derrière les nuages gris.  Je peux donc conclure que Pâques se vit tous les jours!"

En conclusion:
BON VISIONNEMENT  !

PARTAGEZ 
C'EST COMME ÇA QU'ON COMMENCE UNE RÉVOLUTION

JOYEUSES PÂQUES !!

Ne te gêne pas pour partager mon blogue, t'y abonner ou émettre un commentaire!

                                                                                                                                             PasS


IMPORTANT :

Si vous voulez consulter d'autres textes de PasS:
Au bas de la page à gauche, cliquez SOUS l'onglet "Archives"
L'INVENTAIRE DE TOUS LES TEXTES EST LÀ!!
Bonne lecture et.... j'adore les commentaires ;)